Groupe « Souffrance psychique du bébé hospitalisé »
Il était animé par Mme Maggy Camus.
Les participants du groupe réfléchissent à la question de la souffrance psychique du jeune enfant hospitalisé ou placé : comment assurer une continuité objectale, comment permettre aux soignants d’assumer leur fonction de suppléance parentale, comment soutenir l’enfant alors que son enveloppe corporelle est effractée ? Les troubles fonctionnels du jeune enfant sont abordés dans leurs dimensions de rupture de liens, de distorsions des relations précoces ou d’envahissement par des projections parentales.
Ce groupe se réunit trois matinées par an depuis septembre 2007. Il réunit des professionnels de la petite enfance travaillant dans des lieux d’accueil avec des séjours de plus ou moins longue durée (pédiatres, infirmières, kinésithérapeutes, pédopsychiatres, psychologues…). Des situations cliniques sont discutées et font l’objet d’une théorisation.
Groupe « Développement psychique et sensori-moteur du bébé »
Il était animé par Pascale Gustin et Geneviève Bruwier.
En prenant comme points d’appui l’Observation du bébé selon Esther Bick et le Développement Sensori-Moteur d’André Bullinger, ce groupe a pour objectif de poursuivre une réflexion théorico-clinique autour du développement psychique du bébé et de ses avatars.
A partir des situations cliniques apportées par les participants, il s’agira d’articuler nos expériences et pratiques cliniques, en tenant compte de la spécificité du cadre de travail de chacun. Dans la continuité de notre précédente journée d’étude « Evaluer le bébé, et après… ? », la question de l’évaluation et du travail avec les parents durant cette période sensible du développement occupera de façon transversale notre réflexion.
Depuis 2016, le groupe se réunit 3 ou 4 matinées par an à Mons. Il rassemble des psychomotriciens, thérapeutes du développement, pédopsychiatres et psychologues travaillant dans des dispositifs d’accompagnement et de soin tant en périnatalité qu’en santé mentale, dans des structures aussi bien hospitalières qu’ambulatoires.